Le président du géant britannique du pétrole BP a été fortement critiqué pour sa gestion et sa discrétion au cours de cette crise.
Plusieurs administrateurs de la société demandent maintenant sa tête pour celui qui dirige l'entreprise depuis le mois de janvier selon le journal l'"Independent" à Londres.
Ce que l'on reproche le plus à Svanberg, ancien patron d'Ericsson, c'est sa discrétion et sa communication catastrophique voire inexistante. Il avait déclaré que le véritable porte-parole du groupe était Tony Hayward et que c'était à lui de prendre ses responsabilités.
Hors, Tony Hayward, a semble t-il le soutien des ses collaborateurs qui pensent que celui qui doit gérer cette crise est bien le président.
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Publié le 07/06/10 par NQ
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