>> Millenium, le film, héritage, rumeurs, trailers...
La semaine passée, un ancien collègue a publié un livre sur lui "Mon ami Stieg Larsson (Min vän Stieg Larsson)" . L'auteur cependant écrit que Larsson était un médiocre journaliste en l'accusant de bafouer l'éthique journalistique et en inventant des interviews.
Aujourd'hui, un autre de ses collègues prétend, à la suite d'un article dans le DN, qu'il n'était pas un bon écrivain et qu'il ne comprend pas comment il aurait pu écrire la trilogie seul.
La partenaire de Stieg, Eva Gabrielsson a déclaré qu'elle qualifiait ces accusations de " pure diffamation " et a demandé le retrait du livre à la vente.
La famille de Larsson n'a pas pour l'instant pris la parole.
L'auteur est mort en 2004 d'une crise cardiaque à l'âge de 50 ans avant même la publication du premier volet et aujourd'hui plus de 20 millions d'exemplaires de la trilogie ont été vendus dans le monde.
Lire aussi :
- Stieg Larsson, Millenium et héritage 02 nov. 2009
- Millenium : sortie du volet 3 27 nov. 2009
- Dormir à l'hotel à Stockholm aéroport Arlanda
Publié le 22/01/10 par NQ contact@nord-quotidien.com
Une erreur, un commentaire, n'hésitez pas à nous laisser un message.
2 Réaction:
Et moi qui ne comprends toujours pas ce qu'on peut bien trouver à ces romans. Mal écrits de la première à la dernière ligne (ou alors très mal traduits ?)
Je pense que Stieg Larsson était tout à fait capable d'écrire cela tout seul... comme n'importe qui d'autre !
Anonyme pour anonyme,
plus intéressant serait à mon avis, d'essayer de comprendre le phénomène. Qu'est-ce qui a fait qu'un auteur jusque-là quasi-obscur, mauvais journaliste selon certains de ses collègues, pour ainsi dire, un plumitif qu'on accuse par ailleurs avoir reçu l'aide d'une nègre pour pondre, mort avant même la publication du premier volet ; et on arriverait sans doute à trouver inexplicable et incomprehensible tout ce battage autour de cette trilogie vendue à plus de 20 millions d'exemplaires, traduits en... Bon, à un certain moment, il faut arrêter ce tohu-bohu, pour poser la question : n'est-ce pas un montage génial de la part de son éditeur d'avoir su si bien manigancer et tirer les fils de cette affaire super-juteuse, qu'il a créée de toutes pièces et su vendre à un public bon enfant, incapable de juger de la valeur littéraire d'une oeuvre.